Android 80 Suburban Robot Compact Disc

 Chanteur des enragés Ufo goes Ufa, claviériste de Phantom feat. Lio et auteur d’un premier roman publié cette année (‘Take your Protein Pills’), le Belgo-Anglais Brian Carney, alias Android 80, est né à St. Helens (dans la banlieue de Liverpool) sur le morceau Warm Leatherette des Normals. Cet enfant cyborg a grandi avec une boîte à rythmes Roland greffée dans le cerveau et composé sa première chanson au retour d’un concert de The Human League. Sur le tas, il a également appris à se déguiser en observant les Residents et, surtout, a pris beaucoup de drogues dans les premières raves qui déferlaient sur l’Angleterre, début des années 1990. Sa musique est sa vie. Son premier album, suburban robot est pourtant bien un disque de notre époque, conçu en 2010 au studio Freaksville et Android, une symphonie electropop nihiliste, un cauchemar nocturne urbain qui n’en finit pas. Avec ses mélodies acerbes et ces longues plages de synthés qui dégoulinent tel une pluie acide sur la banlieu anglaise, ce disque est contaminé et il n’y aucun moyen d’échapper au virus. car ce disque est un virus mortel.

A one-man electronic cyborg experience. Half human, half machine, powered by the analogue soul of 80s synth-pop and genetically altered by exposure to Kraftwerk and early Human League. A sonic stormtrooper. A dapper Saville Row-bot. A silver-headed cyborg changeling, riding the new wave. A cross between Phil Oakey, C-3PO and the Silver Surfer. A suburban robot to monitor reality.