La vie sauvage par Lisza Compact Disc
€ 15.00
Le premier album de Lisza s’appelle ‘La vie sauvage’, un titre à l’image d’un itinéraire insoumis, presque improbable. Amoureuse des mots, passionnée de littérature, l’artiste s’est détournée des pages pour écrire sa propre histoire en quelques couplets finement ciselés. Comme une pulsion qui, inévitablement, conduit à la musique. Un univers qu’elle aborde d’abord à l’instinct. Parce que Lisza est comme ça : elle prend les choses comme elles viennent, dans l’instant.
Au printemps 2014, sa route croise celle du chanteur belge Vincent Liben. Séduit par ses chansons, ce dernier imagine des arrangements sur-mesure. De nouveaux paysages s’offrent alors aux compos. Car si tous les airs se fredonnent dans la langue de Françoise Hardy, Lisza ne cache pas ses envies d’ailleurs. Balayées par d’incessants vagues à l’âme, les mélodies s’étirent ici sous un soleil couchant : une fin de journée pour se souvenir des ritournelles de Cesaria Evora, Selda, Lhasa ou Astrud Gilberto.
À partir de là, le couple trouve son équilibre : la voix pour Lisza, la musique pour Vincent. L’un ne va pas sans l’autre. C’est un tout, interconnecté, ultra complémentaire. Et quand les mots de la chanteuse rencontrent les orchestrations du musicien, le grand amour n’est jamais loin. Mis en son à la maison, peaufiné par Rudy Coclet (Arno, Girls In Hawaïï) et Lionel Capouillez (Stromae), le premier album du groupe découle d’un dialogue permanent entre le chant et les instruments. ‘La vie sauvage’ est un élan de liberté, un parfum d’avant, un disque d’aujourd’hui.
Conscient de l’époque, mais préservé de la violence du monde moderne, l’album enferme onze titres à la grâce éternelle. Dans ses chansons, Lisza court après l’innocence, la naïveté de l’enfance, une certaine insouciance. Sa musique donne du sens aux utopies, du corps à la nostalgie. Mieux qu’un rêve éveillé : une nouvelle réalité.
Au printemps 2014, sa route croise celle du chanteur belge Vincent Liben. Séduit par ses chansons, ce dernier imagine des arrangements sur-mesure. De nouveaux paysages s’offrent alors aux compos. Car si tous les airs se fredonnent dans la langue de Françoise Hardy, Lisza ne cache pas ses envies d’ailleurs. Balayées par d’incessants vagues à l’âme, les mélodies s’étirent ici sous un soleil couchant : une fin de journée pour se souvenir des ritournelles de Cesaria Evora, Selda, Lhasa ou Astrud Gilberto.
À partir de là, le couple trouve son équilibre : la voix pour Lisza, la musique pour Vincent. L’un ne va pas sans l’autre. C’est un tout, interconnecté, ultra complémentaire. Et quand les mots de la chanteuse rencontrent les orchestrations du musicien, le grand amour n’est jamais loin. Mis en son à la maison, peaufiné par Rudy Coclet (Arno, Girls In Hawaïï) et Lionel Capouillez (Stromae), le premier album du groupe découle d’un dialogue permanent entre le chant et les instruments. ‘La vie sauvage’ est un élan de liberté, un parfum d’avant, un disque d’aujourd’hui.
Conscient de l’époque, mais préservé de la violence du monde moderne, l’album enferme onze titres à la grâce éternelle. Dans ses chansons, Lisza court après l’innocence, la naïveté de l’enfance, une certaine insouciance. Sa musique donne du sens aux utopies, du corps à la nostalgie. Mieux qu’un rêve éveillé : une nouvelle réalité.
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